[VTT] Garin - Boursip


  • 42.1 km

    Distance

  • 1583 m

    Elevation Gain

  • 1882 m

    Elevation Loss

  • 2000 m

    Max height

  • 819 m

    Min height

  • Road

  • Equip

  • Skill

  • Effort

Trail Description


EXTRAIT de http://www.varouler.com/node/227La douce température matinale permet à tous de prendre le petit déjeuner en terrasse. Pain d'épices artisanal, miel, confitures au miel et reste de gâteau aux myrtilles agrémentent ce premier repas.Après un rapide ménage des gîtes et la photo de groupe du départ, nous nous échauffons tranquillement par la route, en direction de Cathervielle. Peu après le village, sur une petite route bordée d'arbres en partie truffés de cocons de soie informes (chenilles ou araignées ?), une fouine traverse devant nous. Au fond de la vallée, le bitume laisse place à un béton rainuré, qui grimpe fort au milieu d'un petit groupe de chalets montagnards lourdement décorés de photographies, et nous mène au départ de « la Passejade », chemin en balcon qui doit nous ramener à l'extrémité Est de la montagne d'Espiaube, au dessus de Benqué.C'est d'abord une courte mais technique voie romaine qui grimpe jusqu'à une barrière électrique et laisse place à un sentier bovin : l'horreur du vététiste, dont la progression, même à plat, est délicate, avec la menace de la clôture sous tension du côté aval. Une barrière de plus à franchir, et le chemin devient à nouveau roulable, avec en prime le point de vue embrassant toute la vallée du col de Peyresourde, bien appréciable. La petite file de Va Rouler aborde alors une zone d'arbrisseaux brulés dans une pente traversée de nombreuses sentes tracées par les animaux ou les hommes et plus ou moins indiqués sur la carte. Franck, Pbda et Gilles poursuivent la trace le long de la Passejade ou de ce qu'il en reste tandis que les autres préfèrent couper dans la pente rejoindre une sente qui trace au plus court vers une crête. Ce petit portage rejoint la piste bien tracée qui monte depuis Benqué-Dessus et que nos trois camarades ont atteint quelques lacets plus bas.La troupe reconstituée profite du point de vue sur les vallées et monts du Luchonnais et la Maladeta, au loin derrière, qui nous surplombait 24h plus tôt. Nous reprenons la piste de Benqué, qui part en traversée montante vers la droite, et évitons la piste qui longe la forêt, déconseillée par notre hôte Vttiste de la nuit dernière. En chemin, quelques vaches s'écartent gentiment pour nous laisser passer. La piste, mi herbe, mi terre tassée, est assez roulante et mène jusqu'à la petit cabane de Courreau. Philippe, en bon guide, précise qu'il ne faut plus alors grimper et tirer à flanc pour atteindre un passage dans la clôture. Trop tard pour Fanck et Vincent, emportés dans leur élan, qui coupent alors à flanc, entre bruyère et myrtillers et enjambent le fil de clôture. Plusieurs faibles sentes sillonnent la pente et la progression est finalement assez aisée, jusqu'à ce que la sente en question décide de grimper droit dans la pente. Tout à gauche, couché sur le vélo et le moulin au ralenti, ça passe quand même. Il semble qu'à cet endroit, la population soit plus ovine que bovine et cela est bénéfique sur l'état des sentes.En vu du Pas des Portes, nous nous regroupons à nouveau près d'une cabane dont ma carte ne me dit pas le nom. Les sentes sont maintenant mieux marquées et convergent toutes vers le Pas des Portes, se regroupant pour former des sentiers parallèles. Dans cette montagne à vaches faiblement caillouteuse, le sentier, tant qu'il ne monte pas trop ou n'est pas trop creusé est bien praticable à VTT. Il faut juste faire attention aux rétrécissements et aux pédales qui peuvent se prendre sur les côtés. Pbda philosophe : « le meilleur sentier est toujours celui d'à côté ». Au Pas des Portes nous attend le portage de la journée, 150m de D+ pour monter sur l'altisurface. Bien délimitée par ses cônes jaune, la piste en légère pente me semble bien irrégulière et plus adaptée à un avion de brousse qu'à un Piper de tourisme. Nous retournons à nos sentier parallèles, qui nous font suivre toute la crête vers l'ouest en courbe de niveau, contournant les quelques sommets au passage, jusqu'au col du Louron (2001 m). Ayant pris un peu d'avance, je gravis pédestrement le pic du lion voisin et jouis de son point de vue sur la montagne d'Espiaube, le lac de Bareille en contrebas et le mont Né, la tête dans les nuages. La descente du pic est très rapide et eu été sympa en vélo… pour la prochaine fois.La vallée du Louron, sous nos yeux nous annonce une descente de 1000 m dans les pâturages. Roulante et pas trop technique, c'est une descente sans stress qui me va bien. En balcon, en crête, en lacet dans les hautes herbes,… les passages sont variés. Franck nous gratifie d'un très beau saut périlleux latéral dans les bruyères sur la partie traversée, tandis que Bruno préfère les lacets dans les herbes pour ses acrobaties.À Mont, un passage un peu rapide vers la fromagerie nous fait rater l'embranchement. Il y a alors les partisans du « je remonte reprendre le chemin raté » et ceux du « en coupant par là, on le rejoint ». Tous se retrouvent au final au prix de quelques tours de pédales supplémentaires ou … quelques coups de jus dans l'entrejambe au passage d'une clôture électrifiée. Un peu plus loin, Philippe nous annonce qu'on a encore été trop vite et perdu la trace. Tant pis, l'appel du ventre est plus fort que celui du guide : nous filons sur Cazaux-Frechet, prenons un petit bout de route, un sentier et nous voilà au rendez vous à Adervielle, où Maïlys nous attendent avec les victuailles du jour.Terrines, rillettes, jambon blanc, tomates, fromage, pêche : le repas est complet, mais il ne faut pas traîner car le temps se fait menaçant. Le groupe des tire au flanc raisonnables se constitue pour un col d'Azet routier. Les puriste, PBda en tête, Franck et Vincent convainquent Fabien, Gilles et Bruno de passer par la piste forestière au dessus de Vielle-Louron. La piste, très large monte gentiment dans la forêt . Franck choisi la musique adéquate, et c'est parti, en éclaireur avec Vincent. Plus loin, un engin et un cantonnier débroussaillent les abords de cette piste déjà très large : l'organisation Va Rouler en fait trop !:-) Une petite brise de vallée nous lèche agréablement dans la lourdeur de l'air. Bien penser à l'hydratation. Un immense lacet plus loin, nous changeons de piste. L'orage menaçant, nous préférons ne pas attendre et balisons le chemin de croix et de flèches gravés dans la terre et formés avec des branchages. Fini la piste présidentielle, nous sommes maintenant sur une piste d'exploitation forestière, ignorant toute notion de pente maxi ou de régularité de pente. Résultat : du quasi fractionné, avec la récup' aux croisements, à constituer flèches et croix. Une grosse fourmilière indique la fin de la montée au col du Pla de la Seube. C'est parti pour la crête jusqu'au col d'Azet : sentes parallèles, chemin forestiers, petites montées, petites descentes, passage d'arbre couchés s'enchaînent jusqu'au signal au dessus du col d'Azet. Petit coup de fil aux autres groupes : les routiers ont entamé la descente sur le GR, et nos poursuivants, la traversée de la crête. Ça se couvre et nous décidons de descendre. Peu avant le col, le GR part à droite, en surplomb de la route. Visiblement, il a bien plu ici car le chemin est bien boueux. Plus loin, la traversée de ruisseaux nous encrassent les chaussures et les pneus et nous décidons de laisser ce GR pour une autre fois et descendons sur la route. Celle-ci nous mène en un clin d'œil à la traversée du GR que nous enfilons jusqu'à Saint Lary. Sur les terres d'Ughy, la descente est rapide et ludique, mais un peu glissante quand même, après le passage de la pluie.Au pied, nous retrouvons le premier groupe et Maïlys avec la voiture, installés près d'un ruisseau où vélos et cyclistes se refont une beauté. Le troisième groupe nous rejoint peu après. À noter que l'orage, dans son grand discernement, a choisi de saucer la route et ses cyclistes plutôt que la forêt, épargnant ainsi les braves vététistes.Les chauffeurs repartent tous récupérer les trois voitures, intactes, de l'autre côté du tunnel de Bielsa.Vincent


EXTRACT sweet morning temperature http://www.varouler.com/node/227La allows everyone to have breakfast on the terrace. Bread artisanal spices, honey, jams and honey rest of blueberry cake decorate this first repas.Après a quick cleaning of the cottages and the starting group photo, we échauffons we quietly by the road towards Cathervielle. Shortly after the village, on a small road lined with trees partly riddled with shapeless silk cocoons (crawlers or spiders?), A weasel through before us. At the bottom of the valley, the asphalt gives way to a grooved concrete, climbing fort in the middle of a small group of mountain chalets heavily decorated with photographs, and leads us from "the Passejade" balcony path which we must back at the eastern end of the mountain Espiaube above Benqué.C'est first a short but technical Roman road that climbs up an electric fence and leaves room for a cattle trail: the horror of biker, whose progress, even flat, is delicate, with the threat of closure energized the downstream side. One more barrier to overcome, and the path becomes again rollable, with the added perspective embracing all the Peyresourde Pass Valley, well appreciated. The small file Va Roll then covers an area of ??shrubs burned in numerous paths crossing slope drawn by animals or men and more or less marked on the map. Franck, and Gilles PBDA continuing track along the Passejade or what remains of it while others prefer to cut into the slope to join a path that traces the shortest to a ridge. This small port joins the well-marked trail that climbs from Benque-Dessus and our three comrades reached some bends more bas.La reconstituted company enjoys the view over the valleys and mountains of Luchon and Maladeta, far behind that 24 we overlooked earlier. We take the trail Benque, who goes on rising traverse to the right and avoid the path along the forest, discouraged by our biker host of last night. On the way, a few cows gently apart to let us pass. The track, half grass, half packed earth, is fairly rolling and leads to the small hut Courreau. Philip, good guide, says he no longer has to climb and shoot flank to reach a passage in the fence. Too late for Fanck and Vincent, carried in their tracks, which then intersect flank, between heather and blueberry leaves and cross the fence wire. Several small paths crisscross the slope and progression is actually quite easy, until the footpath in question decides to climb right into the slope. Far left, lying on the bike and the mill idle, it goes anyway. It seems that at this point, the population is more sheep than cattle and this is beneficial on the state of sentes.En saw the Pas des Portes, we regroup again near a hut that my card did not say the name. The paths are better marked and converge towards the Pas des Portes, banding together to form parallel paths. In this rocky mountain low cows, the trail until it rises too much or not too dug is practicable by mountain bike. You just pay attention to the constrictions and pedals that can take on the sides. PBDA philosopher: "The best path is always the one next door." Not the Portes ahead porting the day 150m from D + to get on the altisurface. Although limited by its yellow cones, the gently sloping trail seems to me improper and more suited to a bush plane to a passenger Piper. We return to our parallel path, which we follow the entire ridge westward contour, bypassing the few peaks in passing, to the Col du Louron (2001 m). Having taken a little ahead, I climbed the peak on foot the nearby lion and enjoy his view of the mountain Espiaube Lake Bareille below and Mount Born, head in the clouds. The descent of the peak is very fast and had been nice bike ... for the next fois.La Louron valley, before our eyes tells us a descent of 1000m in the pasture. Rolling and not too technical, it's a stress that goes down very well. Balcony, peak, yaw in the tall grass ... the passages are varied. Franck offers us a beautiful side somersault in the heather on the crossing portion, while Bruno preferred laces in herbs for its acrobaties.À Mont, a rather rapid transition to the cheese factory makes us miss the turnoff. There is then the proponents of "I missed goes back on track" and those of "cutting there, we joined him." All are at the final few laps at a price of additional pedals or ... a few strokes of juice in the crotch to the passage of an electric fence. A little further, Philippe tells us that we have been too fast and lost track. Too bad, the appeal of the stomach is stronger than that of the guide: we spin on Cazaux-Frechet, take a small piece of road, trail and we are waiting for you to Adervielle where Maïlys ahead with the victuals of the day .Terrines, rillettes, ham, tomatoes, cheese, peach: the meal is complete, but do not hang around because the weather is threatening. The side has a reasonable group constitutes a road Azet pass. The purist, PBDA head, Franck and Vincent convince Fabien Gilles Bruno and go through the forest path above Vielle-Louron. The track, wide gently rises into the forest. Franck chose the right music, and go, scout with Vincent. Further, a craft and a mender débroussaillent the outskirts of this already wide track: the organization Va Roll actually too :-) A light breeze Valley licks us pleasantly in the heaviness of the air!. While thinking about hydration. A huge lace further, we change track. The storm threatening, we prefer not to wait and balisons the path of crosses and arrows etched into the earth and formed with branches. Finish the presidential trail, we are now on a logging trail, ignoring any notion of maximum gradient or slope regularity. The result of almost split, with the recycling craft crossings, to build arrows and cross. A big anthill indicates the end of the climb to Pla the neck of the Seube. It left for the ridge to the Col d'Azet: parallel paths, forest path, small climbs, descents small, shaft passage are linked to signal lying above the neck of Azet. Quick phone call to the other groups: road began descending on the GR, and our pursuers, crossing the ridge. It is covered and we decide to go down. Shortly before the pass, the GR goes to the right, overlooking the road. Obviously he liked it here because the road is muddy. Further, crossing streams clog us shoes and tires and we decided to leave it for another time GR and descend on the road. This leads us in a nod to the crossing of the GR that we put on to St Lary. On the lands of Ughy, the descent is fast and fun, but a bit slippery though, after the passage of the pluie.Au foot, we find the first group and Maïlys with the car, installed near a stream where bikes cyclists and remake a beauty. The third group joined us soon after. Note that the storm in his great discernment, chose saucer road and cyclists rather than the forest, saving the brave vététistes.Les drivers leave all the recover three cars, intact, on the other side of the tunnel of Bielsa.Vincent

Map/Elevation

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